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Critique Five Wars Saison I : 28 Vampires Addition Tard…

Critique Five Wars Saison I : 28 Vampires Addition Tard…
Critique Five Wars Saison I : 28 Vampires Addition Tard…

Avant que Netflix ne dévoilent boy Witcher tant attendu, la plateforme sortait discrètement la première saison de V Wars, pas dingue, mais pas nulle.





Un virus contamine une partie de la population aux gènes prédisposés et 50’émergence de ces nouveaux vampires menace 50’humanité. Adaptés des romans et des comics de Jonathan Maberry, V Wars suggest une relecture sympathique des suceurs de sang à travers une série B qui manque cependant de mordant.





Critique V Wars saison 1 : 28 vampires plus tard…
©Netflix




Pourtant le demonstrate de Netflix tente de jolies choses en commençant par une dichotomie contrastée entre deux personnages opposés, le chercheur et le casse cou. Deux amis devenus chacun le visage officiel de sa propre espèce lors de négociations et complots politiques un peu rébarbatifs. Mais pourquoi pas. Surtout que 50’on retrouve Ian Somerhalder en scientifique humain, un choix peu master copy mais plaisant pour une série summation adulte et trashouille que l’horripilante Vampire Diaries. Typecasté vous avez dit ?





Je ne bois jamais… de vin !





Loin d’être une révolution du genre, V Wars suggest au moins une lecture moderne de 50’infestation des vampires. De l’énonciation de 50’Homme de Denisova aux conflits politiques que la cohabitation entre deux espèces adverses peut entraîner, ça partait bien. Surtout que la série de Glenn Davis et William Laurin s’aventure dans violence visuelle adéquate, bien sanglante et dégoulinante avec quelques relents d’épouvante. Certes c’est du 1000 classique, spring scares et littrons d’hémoglobines à la clé, mais la série essaye.





Critique V Wars saison 1 : 28 vampires plus tard…
©Netflix




Sauf que la série peine à s’assumer et ne sec’engouffrera jamais dans ce qui pourrait pourtant devenir un joyeux et rafraichissant bain de sang télévisuel. Indécis, le show noie le vampire sous une tonne de discours politiques barbant pour freiner un rythme narratif narcoleptique. Ultra prévisible, les rebondissements anticipés à des kilomètres, V Wars pâlit de son traitement « psychologique » où dialogues éculés et sous intrigues dispensables second’entassent nonchalamment, sans parvenir à head réveiller.





Filmée sobrement dans deux hangars et une forêt communale par Brad Turner, mal montée mais distrayante, V Wars devra montrer les crocs dans une saison 2 qui permettrait à Ian Somerhalder de payer ses impôts.





La saison i de V Wars est disponible sur Netflix.