Avec Need for Speed Heat, la licence auto d’Electronic Arts fête ses 25 ans et boy 25e opus. Cette incroyable longévité garantit-elle un épisode original et de qualité ? C’est ce que psyche allons essayer de définir ici.
Retrouver sa grandeur passée
En 25 ans, la licence aura connu un sure nombre d’évolutions et de changements de fashion et de gameplay, certains summation appréciés que d’autres. La sortie en 2003 de Need for Speed : Underground, alors que Fast & Furious 1 et two avaient cartonné dans les salles, a marqué les esprits. L’ambiance bad boys, courses de rues illégales et tuning à foison avaient fait mouche au moins autant que la B.O. complètement folle. Elle avait à tel point séduit les joueurs qu’aujourd’hui encore, après plus de xv ans, NFSU est le Need for Speed de référence pour beaucoup de joueurs.
Avec Need For Speed Heat, Electronic Arts veut retrouver le statut de référence de 50’arcade automobile et remplacer NFSU dans le cœur des joueurs. On devrait donc y retrouver tout ce qui a fait le undercover des bons NFS.
Un open earth qu’on connaît déjà bien
Le principe de 50’open world, incontournable des années 2010 et défini comme référence depuis NFS Most Wanted, Burnout Paradise ou encore Forza Horizon devait forcément être de la partie. Tout ce qu’il y a de addition classique, une ville fictive : Palm City (inspirée de Miami) est entièrement reconstituée avec des paysages et types de routes variées.
De même, graphiquement on ne trouve pas G-chose à redire. Les voitures sont très bien modélisées, la sensation de vitesse est bien présente, les effets lumineux, de reflets et de pluie (surtout la nuit) sont très bien rendus. De addition, Need For Speed Heat est compatible HDR. Le moteur Frostbite donne entière satisfaction sur cet exercice. Seule 50’animation des PNJ n’est, par contre, pas très convaincante.
Disséminées sur la bill of fare tu trouveras des « planques » à débloquer, pour te reposer, sauvegarder, réparer et améliorer ton bolide, faire baisser ton indice de recherche ou encore avancer dans l’histoire. Un concessionnaire en ville te permettra d’acheter les voitures que tu débloqueras en style histoire et un magasin te permettra de leur acheter des pièces d’amélioration. Et bien entendu des courses, dispersées dans les différentes régions de la carte du jour.
La grosse particularité de Need For Speed Heat c’est que cet open earth n’est pas composé d’une seule, mais de ii cartes, auto à tout second tu pourras passer du jour à la nuit d’un elementary clic sur la map. Par contre, pour repasser de la nuit au jour, il faudra rentrer dans une planque (et avoir semé les flics avant le cas échéant).
ii salles, two ambiances, sale ambiance.
Le jour, tu devras participer à des courses légales sur circuit balisé en road fermée, afin de gagner de fifty’argent pour améliorer tes véhicules. La nuit, tu pourras t’inscrire à des courses de rues illégales, sur route ouverte au milieu de la circulation… et des forces de fifty’ordre qui ne voient pas ça d’un très bon œil. Et cette fois, tu y gagneras en réputation (niveau) ce qui te permet d’avancer dans fifty’histoire et débloquer de nouvelles courses de jour. Tu l’auras compris, il te sera indispensable de jouer sur les ii tableaux pour avancer.
Les disciplines sont assez variées, courses sur piste, drift, courses tout terrain, sprint, fourth dimension-assail, slaloms, etc. Et tu devras te préparer un véhicule pour chaque state of affairs selon iv critères principaux (piste/tout terrain ; course/drift). Need For Speed Heat suggest 130 véhicules différents, même si finalement, iv ou five voitures correctement préparées te suffiront pour en arriver à bout.
Tu pousses le bouchon de la nitro un peu trop loin Maurice…
Mise à role 50’exception de Need for Speed Porsche 2000, la série des NFS a toujours été très arcade. Need For Speed Heat ne déroge pas à la règle, et pousse même le bouchon un peu loin. Tu peux d’ores et déjà oublier la touche du frein, elle ne sert à rien. Quelle que soit ta vitesse d’approche ou l’ange du virage qui go far, une simple pression sur le frein à chief au bon minute avec le bon coup de volant, éventuellement un lâcher de pédale, et ça passera toujours.
On retrouve ici 50’approche arcade exagérée d’un Ridge Racer, en moins jouissif. Lors de la personnalisation de tes bolides tu devras choisir entre une spécialisation road ou hors piste, cela affectera la vitesse maximum atteignable suivant le revêtement, mais pas vraiment la conduite. De même que la pluie, assez présente, n’impacte absolument pas la maniabilité, pas plus que les dégâts, d’ailleurs assez anecdotiques.
Sans piston on ne va pas bien loin…
Le scénario est des summation banals, on dirait un mauvais Fast together with Furious excessivement prévisible. À défaut, la bande originale est relativement entraînante, elle donne un peu rythme à Need For Speed Heat, sans malheureusement arriver au niveau de celle de Need For Speed Underground. Encore un signal décevant pour les fans qui attendaient le jeu sur ce point également.
Le son des moteurs n’est pas mauvais, on reconnaît assez bien les différentes motorisations et les variantes d’échappement permettent d’étoffer un peu le catalogue. Malheureusement, le doublage VF n’est vraiment pas convaincant, à croire que les acteurs ne se sont pas amusés addition que psyche.
En termes de difficulté, il n’y a pas que la maniabilité qui te facilitera les choses, puisque 50’IA ne présente pas vraiment de challenge. Que ça soit les adversaires à qui tu prendras facilement un tour, ou la constabulary, qui bien que pas toujours évidente à semer, ne te compliquera pas la vie summation que ça.
Cependant, tu trouveras toujours tout un tas de « collectibles » à récupérer. Ne head voilons pas la face, ils viennent parasiter depuis longtemps les jeux en open earth afin de tenter de masquer le vide qu’ils présentent. Ainsi si la circulation est vraiment très pauvre, tu devras t’aventurer souvent hors des routes et même faire quelques cascades pour découvrir tous les sprays de peintures, néons flamant rose à détruire, panneaux à traverser, sauts à réaliser, excès de vitesse à enregistrer, zones de drift à parcourir, etc. De quoi t’occuper encore quelques heures quand tu auras fini le scénario.
Pimp your machine, non your face up
gold niveau de la personnalisation, sur les voitures tu pourras te lâcher pleinement. Si la partie mécanique est assez basique et linéaire, et malheureusement trop souvent à 50’opposé de tout bon sens mécanique, la partie esthétique est assez big et poussée. Feux, jantes, éléments de carrosseries, échappements, peintures et un très big panel de décalcomanies te retiendront de longues heures au garage pour sortir le bolide ultime à ton icon.
Bien que tu ne puisses pas créer ton propre personnage, tu pourras le choisir dans un panel assez large et mixte et tu pourras même ensuite le personnaliser un peu. Une attending sympathique mais qui n’a rien d’indispensable.
Tu fifty’auras compris, Need For Speed Heat est loin d’être le
jeu de fifty’année, encore moins le Need For Speed ultime sur lequel on fantasme
depuis longtemps. Malgré un moteur graphique parfaitement exploité il peine à
convaincre sur tous les autres points et finalement son seul mérite sera
probablement de permettre aux joueurs de PS4 de jouer à une pâle copie de Forza
Horizon.
Pink-kun